Armand Chateaugiron
Ses articles
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Testament de Marie de Guengat (1587)
Transcription, le 24 mai 2020.
Marie de Guengat, protestante, fille et de Jacques et de Jeanne de Talhouët, et veuve de Guy d’Avaugour, seigneur de Vay, fait son testament à la Rochelle le premier mai 1587. Elle lègue ses principaux biens à son neveu Charles d’Avaugour, seigneur de Cargrois, et la terre de Guengat à son cousin germain, le sieur de Livinot.
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Testament de René de Guengat (1564)
Transcription, le 13 mai 2020.
René de Guengat, sieur de Livinot, fils d’Alain de Guengat et de Marie de Tromelin, fait son testament le 25 avril 1564, règlant la garde de ses enfants et laissant des instructions pour régler ses affaires.
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Mellet - Réformation des fiefs (1538)
Transcription, le 3 mai 2020.
Sa noblesse contestée par le procureur du roi à l’occasion de la réformation des fiefs nobles en 1538, Jean Mellet, sieur de Boon, fils d’autre Jean, sieur du Hail, la prouve par preuves devant les commissaires de la réformation et obtient la levée du procès.
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Bouexière (de la) - Testament et dernières volontés de Morice de la Bouexière (1543)
Transcription, le 3 avril 2020.
Morice de la Boessière ou Bouexière, sieur de Kerazloant, fils aîné de Bertrand de la Boessiere et d’Alliete de Kerliviou, sans postérité de son mariage avec Catherine Forget, eut pour héritier son frère Charles.
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Rolle de la noblesse de l’evêché de Dol - 1674
Transcription, le 21 mars 2020.
Ce rôle recense les personnes nobles de l’évêché de Dol qui seront mises à contribution pour payer la somme de 250.000 livres donnée au Roi et votée par les États de Bretagne en 1674.
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Sarrans (de) - Induction (1666)
Transcription, le 13 mars 2020.
Bien que non originaire de Bretagne, la famille gasconne de Sarrans y a exercé des charges et fonctions militaires et fait quelques alliances, ce qui explique la présence de cette induction pour la réformation de la noblesse de l’élection de Condom aux archives départementales des Côtes-d’Armor.
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Begaignon - Reçu (1419)
Transcription, le 20 février 2020.
La collection Clairambault contient une copie d’un reçu d’Yvon (Le) Begaignon datant de l’an 1419 et en mentionne un second de la même année.
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Bocenit (de) - Réformation de la noblesse (induction, 1668)
Transcription, le 8 février 2020.
Le 21 octobre 1668, Palasne, huissier au parlement de Bretagne, signifie au procureur général du roi l’induction d’actes de François de Bocenit, sieur dudit lieu, anobli en septembre 1649, afin de produire devant la Chambre de réformation de la noblesse de Bretagne.
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Uguet - Réformation de la noblesse (Induction, 1668)
Transcription, le 23 janvier 2020.
Il s’agit ici du brouillon de l’induction de Malo Uguet pour la réformation de la noblesse en Bretagne de 1668, dont l’arrêt de maintenue du 19 décembre 1668 a été publié précédemment sur Tudchentil.
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Largez (du) - Maintenue de noblesse (1670)
Transcription, le 15 janvier 2020.
Arrêt de la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne maintenant dans leur noblesse Louis du Largez, sieur dudit lieu, Jean son frère, Françoise leur soeur, René et Yves du Largez, sieurs de Portzancoz et de Parlos, le 6 octobre 1670 à Rennes
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Andigné (d’) - Preuves pour l’ordre de Malte (1780)
Transcription, le 11 janvier 2020.
Procès-verbal des preuves de noblesse de Charles François d’Andigné, fils de Guy René Charles François d’Andigné, chevalier, comte de Sainte Gemme d’Andigné, et de Louise Josephine de Robien, son épouse, présenté pour être reçu page dans l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem en juin 1780.
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Danuels - Arrêt interlocutoire (1670)
Transcription, le 3 janvier 2020.
Arrêt interlocutoire de la Chambre de réformation de la noblesse de Bretagne qui ordonne à Yves Danuels/Danvels de produire des titres tirés de la chambre des comptes au soutien de sa qualité de noble, du 9 juillet 1670.
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Barbier de Lescoët - Preuves pour Malte (1741, non validées)
Transcription, le 28 décembre 2019.
Procès-verbal non validé des preuves de noblesse d’Alexandre Marie Joseph Barbier de Lescoët pour être admis page du Grand Maître de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, le 23 mai 1741.
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Andigné de Carmargaro (d’) - Réformation de la noblesse (1671)
Transcription, le 13 décembre 2019.
Le 11 mars 1671, Jean-Baptiste d’Andigné, chevalier, seigneur de Carmargaro, ainsi que Jean, sieur d’Aradon, son frère puîné, sont maintenus dans leur noblesse d’ancienne extraction par la Chambre de réformation de la noblesse de Bretagne.
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Andigné (d’) - Réformation de la noblesse (1670)
Transcription, le 8 décembre 2019.
Arrêt de maintenue de noblesse rendu le 23 décembre 1670 à Rennes par la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne, en faveur de Jean-Baptiste d’Andigné, fils de feu messire René d’Andigné et dame Françoise Charpantier.
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Andigné de la Chasse - Réformation de la noblesse (1670)
Transcription, le 29 novembre 2019.
Maintenue de noblesse de François d’Andigné, chevalier, sieur de la Chasse, Charles-Pélage-Joseph, son fils aîné, Jean-Baptiste, sieur de la Marche, son frère juveigneur, et Claude d’Andigné, son frère puîné, par la Chambre de réformation de la noblesse de Bretagne à Rennes, le 15 décembre 1670.
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Andigné du Verger - Maintenue de noblesse (1670)
Transcription, le 16 novembre 2019.
Arrêt rendu par la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne le 15 décembre 1670 à Rennes, maintenant dans sa noblesse d’ancienne extraction Guillaume d’Andigné, sieur de la Roche, demeurant à la Touche, paroisse de Bruc.
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Déclaration du roi contre les usurpateurs de la noblesse (1703)
Saisie, le 30 octobre 2019.
De nombreux usurpateurs ayant repris les qualités nobiliaires pour l’utilisation desquelles ils avaient déjà été condamnés, et certains titres présentés ayant été depuis reconnus comme faux, le roi et son Conseil ordonnent que tous les usurpateurs soient à nouveau condamnés.
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Courrier-type pour la recherche d’usurpateurs de noblesse
Saisie, le 22 octobre 2019.
Courrier-type accompagnant le mémoire, les modèles et le dernier avis aux recteurs, greffiers, notaires, etc. pour dresser les listes des personnes ayant pris des qualités nobiliaires, sous peine d’être condamnés aux même peines que les usurpateurs de noblesse.
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Avis de recherche des usurpateurs de noblesse (1697)
Saisie, le 19 octobre 2019.
Dernier avis publié durant le second semestre 1697 enjoignant les recteurs, greffiers, notaires, etc. qui ne l’ont pas encore fait, de dresser les listes des personnes ayant pris des qualités nobiliaires, sous peine d’être condamnés aux même peines que les usurpateurs de noblesse.
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Mémoire pour la recherche de la noblesse en Bretagne (1697)
Saisie, le 15 octobre 2019.
Ce Mémoire imprimé est destiné aux recteurs, greffiers, notaires, etc. leur indiquant comment procéder pour dresser les listes des personnes ayant pris des qualités nobiliaires depuis le premier janvier 1668 dans les actes et registres qu’ils conservent.
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Chateauneuf (de) - Décharge d’une taxe pour usurpation de noblesse (1700)
Transcription, le 7 octobre 2019.
Louise de Chateauneuf, dame de Kereru, sœur et héritière de Tanguy de Chateauneuf, sieur de la Meriais, est déchargée d’une taxe pour usurpation de noblesse par Louis Bechameil de Nointel, intendant de Bretagne, le 30 septembre 1700 à Rennes.
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Andigné (d’) - Preuves pour l’ordre de Malte (1743)
Transcription, le 3 octobre 2019.
Procès-verbal des preuves de noblesse de Louis Charles d’Andigné, fils de Charles François d’Andigné, chevalier, seigneur de la Blanchaye, Sainte Gemmes et autres lieux, et de Elisabeth Charlotte Françoise Celeste Pantin de la Guerre, présenté pour être reçu page dans l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem en mars 1743.
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Brossard (de) - Décharge d’une taxe pour usurpation de noblesse (1699)
Transcription, le 19 septembre 2019.
Louis Bechameil de Nointel, intendant de Bretagne, décharge Innocent de Brossard et les héritiers de son frère René d’une taxe pour usurpation de noblesse, car ils ont été maintenus nobles le 9 mai 1669 par Voisin de la Noiraye, intendant de Tours.
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Brossard (de) - Demande de confirmation de noblesse (1761)
Transcription, le 14 septembre 2019.
Pierre-Louis de Brossard, Charles-Claude son frère, et Pierre-Claude-Isaac-Marie son fils, supplient la cour du Parlement de bien vouloir étudier leur requête et de déclarer commun avec eux l’arrêt de maintenue de noblesse rendu le 21 janvier 1671 en faveur d’Yves (de) Brossard.