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Les articles
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Trémigon (de) - Preuves pour Saint-Cyr (1746)
par Loïc Le Marchant de Trigon, le 30 avril 2012.
Preuves de la noblesse de demoiselle Françoise Geneviève de Trémigon agréée par le Roi, pour être admise au nombre des filles demoiselles que Sa Majesté fait élever dans la Maison Royale de St Louis fondée à St Cyr dans le parc de Versailles.
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Treouret (de) - Preuves pour la Petite Écurie (1764)
par Karl Enz, le 5 février 2018.
Louis-Pierre d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Joseph-Louis-Hyacinthe, fils de Joseph-Louis de Tréouret, seigneur de Kerstrat, en vue de son admission comme page du roi dans sa Petite Écurie, le 13 juin 1764.
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Trepezec (de) - preuves pour l’École royale militaire (1770)
par Marie-Dominique Dolo, le 22 janvier 2012.
Procès-verbal des preuves de la noblesse de Gabriel-Louis-Mathurin de Trepezec agréé par le Roi pour être admis au nombre des gentilshommes que Sa Majesté fait élever dans l’Hôtel de l’École royale militaire .
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Trévou (du) - Preuves de noblesse pour la Grande Écurie (1689)
par Guillaume de Boudemange, le 18 février 2021.
Charles d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Toussaint, fils de Jean-Baptiste du Trévou, seigneur de Kersauson, et de Catherine de la Forêt, pour son admission parmi les pages de la Grande Écurie, le premier mars 1689.
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Trévou (du) - Réformation de la noblesse (1668)
par Rémy Le Martret, le 22 mars 2012.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de Jean-Baptiste du Trévou, sieur de Kersoson, Guillaume, son fils aisné, Louis, sieur de Kerriec, et Charles du Trévou, sieur de Penanhé, le 14 décembre 1668 à Rennes.
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Troerin (de) - Réformation de la noblesse (1668-1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 11 avril 2025.
Les « Carrés d’Hozier », conservés à la Bibliothèque nationale de France, conservent des copies d’extraits de la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne concernant tous les évènements concernant la famille de Troerin auprès de cette chambre, en 1668 et 1669.
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Troerin de Kerjan (de) - Preuves pour la Grande Ecurie (1744)
par Karl Enz, le 7 mai 2019.
Louis-Pierre d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Tanguy-Marie, fils de Charles-François de Troérin, seigneur de Kerjan, et de Marie-Anne Keroulas, sa femme, en vue de son admission comme page de la Grande Écurie du roi, le 27 mars 1744.
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Trogoff (de) - Branche de Kerdrogon - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 28 décembre 2007.
Arrêt de noblesse de la branche de Kerdrogon
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Trogoff (de) - Branche de Kerlessy - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 14 mars 2008.
Branche de Kerlessy.
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Trogoff (de) - Branche de Rocumelen - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 7 décembre 2007.
Arrêt de noblesse de la branche de Rocumelen.
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Trogoff (de) - Branche du Boisguezennec - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 25 janvier 2008.
Branche du Boisguezennec.
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Trogoff (de) - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 14 septembre 2006.
Arrêt de noblesse des branches de Kerelleau et de Coatalio.
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Trolong (de) - Réformation de la noblesse – Induction
par Guillaume de Boudemange, le 2 mai 2025.
Cette induction a été présentée au greffe de la Chambre de la réformation de la noblesse en Bretagne par le procureur de Pierre de Trolong, sieur du Rumen, et ses fils, et autres de même famille, en vue de leur jugement de noblesse par cette même Chambre.
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Trolong (de) - Réformation de la noblesse – Maintenue (1669)
par Guillaume de Boudemange, le 18 avril 2025.
La Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne maintient Pierre de Trolong, sieur du Rumen, et ses fils, et autres de même famille, en leur qualité de noble d’ancienne extraction, à Rennes le 8 mai 1669.
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Tuffin - Réformation de la noblesse (1668)
par Marie-Dominique Dolo, le 18 novembre 2013.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de Joseph Tuffin, vicomte de la Royrie, Jean, Claude et Charles Tuffin, ses frères puînés, sieur de la Motte, du Taillay et du Breil, et Jean Tuffin, écuyer, sieur de Mézandré, le 17 octobre 1668.
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Tuffin - Réformation de la noblesse (1669)
par Marie-Dominique Dolo, le 31 octobre 2013.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de Jacques Tuffin, écuyer, sieur de Sesmaisons, et Joseph Tuffin, écuyer, sieur de la Vigne, son frère, le 14 mai 1669.
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Tuffin de la Roërie - Preuves de noblesse pour la Grande Écurie (1744)
par Guillaume de Boudemange, le 25 novembre 2024.
Louis-Pierre d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Charles Joseph Tuffin de la Roirie, fils de Charles Joseph François Mathurin Tuffin et de Françoise Élisabeth Guichard, pour son admission comme page de la Grande écurie, à Paris le 31 mars 1744.
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Tuffin de la Roirie - Preuves de noblesse pour la Grande Écurie (1741)
par Guillaume de Boudemange, le 20 décembre 2024.
Louis-Pierre d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse d’Anne-Joseph-Jacques Tuffin, fils de Anne-Jacques Tuffin, vicomte de la Roirie, et de Marie Anne de Baugi son épouse, agréé pour être élevé page du roi dans sa Grande Écurie, le 25 février 1741 à Paris.
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Tuffin de la Rouerie - Preuves de noblesse pour la Petite Écurie (1704)
par Guillaume de Boudemange, le 18 septembre 2024.
Charles d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse d’Anne-Jacques Tuffin de la Rouërie, fils de Joseph Tuffin, comte de la Rouërie, et d’Anne Fleuri, reçu page du roi dans sa Petite Écurie
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Tullaye (de la) - Preuves pour Saint-Cyr (1711)
par Loïc Le Marchant de Trigon, le 29 août 2011.
Preuves de la noblesse de demoiselle Renée de la Tullaye, présentée pour être reçue au nombre des filles demoiselles de la Maison de Saint Louis, fondée par le Roi, à Saint-Cyr, dans le parc de Versailles.
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Tullaye (de la) - Réformation de la noblesse (1668)
par Amaury de la Pinsonnais, le 1er octobre 2013.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de René de la Tullaye, écuyer, sieur de la Jaroussaye, Salomon, autre Salomon, Salomon-François, Jacques et Rolland de la Tullaye, le 30 octobre 1668.
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Uguet - Réformation de la noblesse (Induction, 1668)
par Armand Chateaugiron, le 23 janvier 2020.
Il s’agit ici du brouillon de l’induction de Malo Uguet pour la réformation de la noblesse en Bretagne de 1668, dont l’arrêt de maintenue du 19 décembre 1668 a été publié précédemment sur Tudchentil.
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Uguet - Réformation de la noblesse de Bretagne (1668)
par Armand Chateaugiron, Amaury de la Pinsonnais, le 19 août 2018.
Arrêt de maintenue de noblesse de Malo Uguet, chevalier, seigneur de Laumosne et de la Chapelle-Cobatz, Jean Uguet, sieur de Chateville, Renaud son petit-fils, sieur de la Fosse-au-Loup, Guillaume, sieur du Boisbotrel et Jean , sieur de Saint-Joan, ses enfants puînés, devant la Chambre de réformation de la noblesse de Bretagne, le 19 décembre 1668.
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Urvoy de Saint Bedan - Preuves de noblesse pour la Grande Écurie (1737)
par Jean-François Coënt, le 5 mai 2022.
Louis-Pierre d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Toussaint-Félix, fils d’Annibal-Marin Urvoy, seigneur de Saint-Bédan, et de Jeanne-Agnès Le Bigot, admis comme page de la Grande Écurie, à Paris le 3 avril 1737.
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Urvoy de Saint Bedan - Preuves pour Saint-Cyr (1736)
par Loïc Le Marchant de Trigon, le 30 janvier 2012.
Preuves de la noblesse de demoiselle Marie Françoise Hiacinte Urvoi de Saint Bedan agréée par le Roi pour etre admise au nombre des filles demoiselles que Sa Majesté fait elever dans la Maison Royale de St Louis fondée à St Cir, dans le parc de Versailles.
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Valleaux (de) - Réformation de la noblesse (1669)
par Amaury de la Pinsonnais, le 27 août 2013.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de noble écuyer Jan de Valleaux, sieur du Bois-Robin et des Touches, demeurant à sa maison du Bois-Robin, paroisse de Marcillé, le 10 avril 1669.
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Valory (de) - Décharge et maintenue de noblesse (1699)
par Tugdual Le Rouge de Guerdavid, le 25 mars 2020.
Louis Bechameil, intendant de Bretagne, décharge Renée de Marsille, veuve de Philippe-Emmanuel de Valory, d’une assignation à prouver la noblesse de ses trois fils, et les maintient en leur qualité de nobles et écuyers, le 29 avril 1699 à Rennes.
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Vauborel (de) - Maintenue de noblesse (1668)
par Amaury de la Pinsonnais, le 25 avril 2025.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de Léonard de Vauborel, chevalier, sieur de Bremanfani, Jean-Antoine de Vauborel, sieur de Sainte-Marie, Jaques de Vauborel, sieur de la Chapelle, et Samuel de Vauborel, frères, le 6 octobre 1668.
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Vauborel (de) - Preuves de noblesse pour la Grande Écurie (1723)
par Guillaume de Boudemange, le 3 avril 2022.
Charles d’Hozier, généalogiste du roi, dresse le procès-verbal des preuves de noblesse de Mathias-Louis de Vauborel, fils de Malo-Gabriel de Vauborel, seigneur de la Chapelle, et de Jeanne de Chérisi, reçu parmi les pages du roi dans sa Grande Ecurie, à Paris le 4 octobre 1723.
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Vauborel (du) - Réformation de la noblesse (1668)
par Amaury de la Pinsonnais, le 16 avril 2014.
Maintenue devant la Chambre de réformation de la noblesse en Bretagne de Léonard de Vauborel, chevalier, sieur de Bremanfani, Jean-Antoine de Vauborel, sieur de Sainte-Marie, Jaques de Vauborel, sieur de la Chapelle, et Samuel de Vauborel, frères, le 6 octobre 1668.