Nos derniers articles
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Fruglaye (de la) - Preuves pour Saint-Cyr (1789)
par Jean-François Coënt, le 15 novembre 2024.
Hasard des archives, ce procès-verbal des preuves de noblesse de Joséphine-Prudence-Françoise de la Fruglaye pour son admission dans la maison royale de Saint-Cyr ne nous est connu que par une copie autographe conservée dans des archives privées.
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Dollo – Arrêt interlocutoire (avril 1669)
par Armand Chateaugiron, le 9 novembre 2024.
La chambre de réformation de la noblesse rend un arrêt interlocutoire afin de permettre à Gillette et Pierre Dollo de se pourvoir auprès de la chambre des comptes pour y faire lever des extraits des montres et réformations prouvant leur noblesse, à Rennes, le 8 avril 1669.
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Dollo - Déboutement à la Réformation de la noblesse (juin 1669)
par Armand Chateaugiron, le 4 novembre 2024.
Gilette Dollo, dame douairière de la Garanne, et son cousin Pierre Dollo, sieur de Kernonnen, sont déboutés de leurs prétentions par la Chambre de la réformation de la noblesse en Bretagne, par arrêt du 7 juin 1669. Ils seront maintenus par un autre arrêt le 15 novembre 1670.
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Camprond (de) - Décharge d’une poursuite pour usurpation de noblesse (1701)
par Amaury de la Pinsonnais, le 29 octobre 2024.
Anne de Camprond, dame de Sçaulx, demeurant en Normandie, obtient la décharge d’une poursuite à l’encontre de son frère comme usurpateur de noblesse dont elle est héritière, car il avait été maintenu noble en Normandie, par ordonnance de Louis Bechameil, marquis de Nointel et intendant de Bretagne, à Rennes le 26 février 1701.
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Riou - Maintenue de noblesse au parlement de Paris (1726)
par Guillaume de Boudemange, le 23 octobre 2024.
Guillaume-Joseph Riou, sieur de Kerouan, et Marie-Sebastienne Riou, sa sœur, épouse du sieur de Sassy, sont maintenus dans leur noblesse au parlement de Paris le 1er juillet 1726, après un long procès où leur qualité leur fut disputée par Louis d’Esclabissac, époux de leur cousine Louise Charlotte de Loheac, très probablement afin d’obtenir un partage roturier (et pour eux plus avantageux) de l’héritage de leur aïeule commune.