Tudchentil

Les sources sur les gentilshommes bretons

L'histoire de Keroulas

Du Moyen Âge à nos jours

Par la famille de Keroulas.

Depuis le Moyen-Âge, le berceau de la famille de Keroulas se trouve au manoir de Keroulas à Brélès, en Pays de Léon. Plus de 6 siècles et près de 20 générations plus tard, cette belle demeure du XVIIe siècle est toujours la résidence de descendants de la famille.

Le manoir de Keroulas conserve de précieuses archives dont les plus anciennes datent de la fin des années 1300. Elles ont permis de remonter aux périodes les plus reculées de l’histoire familiale.

Le nom de famille de Keroulas s’est éteint en Pays de Léon au XVIIIe siècle. Les Keroulas d’aujourd’hui descendent de Ronan Mathurin de Keroulas (1730-1810) qui s’installe vers 1764 au manoir de Tal ar Roz au Juch près de Douarnenez. Sa nombreuse postérité estimée à plus de 5.000 personnes a surtout essaimé au Juch et dans les communes environnantes.

Ce beau livre illustré, travail collectif de plusieurs enfants de la famille, vous invite à plonger dans la destinée des Keroulas, à suivre son évolution au fil des siècles et à découvrir de nombreux épisodes parfois très surprenants.

Le livre est en vente chez l’éditeur aux éditions Récits au prix de 35 €.

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Photo A. de la Pinsonnais (2009).

Rôle d’armes du second traité de Guérande 7/10

Mardi 3 octobre 2006, par Amaury de la Pinsonnais.

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Amaury de la Pinsonnais, Rôle d’armes du second traité de Guérande 7/10, 2006, en ligne sur Tudchentil.org, consulté le 4 décembre 2024,
www.tudchentil.org/spip.php?article1148.

Geffroy Vaucouleur

Geffroy Vaucouleur
D’argent à l’aigle bicéphale de sable.

N°121 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Geoffroi Vaucouleurs. Un membre de la famille de Vaucouleurs que Gaignières blasonne comme du Guesclin. Or, si Geoffroy ne scelle pas le traité, on lui connait un sceau à une aigle non bicéphale et accompagné de trois étoiles, deux en chef et une en pointe [1].

Il ratifie le traité le 28 avril à Lamballe.


Geffroy de la Motte

Geffroy de la Motte
De gueules à trois bandes engreslées d’argent.

N°122 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Geoffroi de la Motte(-Maugremieux ?), sire du Breil, décédé après 1386, père de Robert de la Motte, évêque de Saint-Malo en 1423. C’est peut-être lui qui est curateur de Charles de Rohan.

Le sceau qu’il utilise pour sceller le traité a une bordure [2].

Trois Geoffroy de la Motte ratifient le traité, l’un le 2 mai à la Roche-Derrien, un autre le 10 avril à Guérande (celui de cet article), le troisième le 28 avril à Lamballe.


Henry de Lorgeril

Henry de Lorgeril
De gueules au chevron d’hermine accompagné de trois molettes d’or.

N°123 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Henri de Lorgeril, décédé en 1394, cité dès 1370 dans l’enquête pour la canonisation de Charles de Blois, fils d’Olivier II de Lorgeril frère cadet de Guillaume de Lorgeril.

Gaignières se trompe sur les armes car le sceau qu’utilise Henry de Lorgeril porte un écu à la bande accompagnée de trois étoiles à huit branches, deux en chef et une en pointe [3].


Olivier de la Villeon

Olivier de la Villeon
D’rgent à l’arbre de sinople, au franc-canton de sable fretté d’or.

N°124 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Olivier de la Villéon. D’après Pol Potier de Courcy [4], il serait proche de Jean de la Villéon qui ratifie le traité le 28 avril à Lamballe, issus tous deux d’une branche cadette de la Villéon. Potier de Courcy donne Rolland, époux de Jeanne de Lesquen, aussi signataire du traité, le 28 avril à Lamballe, comme issu de la branche aînée.

Pour Martine Fabre [5], il n’y qu’un membre (Olivier) de cette famille qui scelle le traité, mais elle ne donne pas les armes représentées sur son sceau.

Il ratifie le traité de Guérande le 28 avril à Lamballe. Un autre Olivier de la Villéon ratifie le traité, le 2 mai à la Roche-Derrien, comme conseiller de Jeanne, duchesse de Bretagne.


Julien de la Roche

Julien de la Roche
De sable à trois croissants d’argent.

N°125 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Julien de la Roche, membre non identifié d’une des nombreuses familles de ce nom. Peut-être faut-il le rattacher à celle qui était originaire de la paroisse de Trébry, évêché de Saint-Brieuc, à qui Potier de Courcy [6] donne de sable à la fasce d’argent accompagnée de trois croissants du même.

Il ratifie le traité de Guérande le 28 avril à Lamballe.


Silvestre de Plumaugat

Silvestre de Plumaugat
D’rgent à trois bandes d’azur.

N°127 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Sylvestre de Plumaugat, peut-être fils d’Eon de Plumaugat, connétable de Rennes, avec qui il ratifie le traité. On trouve aussi d’azur à trois bandes d’argent. Le 25 avril à Dinan, un Jean de Plumaugat jure aussi le traité.

Il ratifie le traité de Guérande le 20 avril à Rennes.


Pierre Botherel sire d’Apigné

Pierre Botherel sire d’Apign
D’argent semé d’ancolies d’azur tigées de gueules.

N°128 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Pierre Boterel ou Botherel, sire d’Apigné. Les Botherel d’Apigné sont un ramage des comtes de Rennes [7]. L’écu de Pierre Botherel est parfois chargé d’un lion [8], comme celui de sa juridiction d’Apigné qu’il utilise réellement pour sceller le traité. Probablement un doublon pour Pierre Boterel, sire d’Apigné.

Il ratifie le traité le 20 avril à Rennes.


Guil. du Chastel

Guil. du Chastel
Fascé d’or et de gueules de six pièces.

N°126 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Ce Guillaume du Chastel aurait pu être Guillaume II du Chastel [9] fils d’Hervé II du Chastel et de Méance du Liscoet. Mais en réalité, le signataire du traité de Guérande porte un écu au château ainsi que le montre son sceau, et non le fascé d’or et de gueules traditionnel des Du Chastel de Trémazan. Nous sommes donc ici en présence d’une erreur de Gaignières. Pour Martine Fabre (qui donne une image du sceau dans son article La symbolique des Du Chastel d’après les sceaux et les armoriaux [10]), il est clair que ce Guillaume du Chastel est étranger au lignage de Trémazan. C’était déjà l’opinion de Potier de Courcy [11] qui le dit membre de la famille du Chastel sieurs de la Rouardais et de la Touche (paroisse de Pleurtuit), qui porte de gueules au château d’or. Ce même auteur rapporte deux autres familles du Chastel portant un écu de gueules avec un château d’or ou d’argent.

Il ratifie le traité de Guérande le 10 avril à Guérande.


Nic. Lotodé sire de Chenillé en Moigné

Lotod
D’argent au lion léopardé de sable coupé de sable au lévrier d’argent.

No129 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Nicolas Lotodé, personnage inconnu. Pol Potier de Courcy [12] donne les Lotodé comme sieurs de Cherville, en Moigné, et éteints en 1629.

Il ratifie le traité le 20 avril à Rennes.


Simon de Montbourcher

Montbourcher (de)
D’or à trois pots (ou marmittes) de gueules.

N°130 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 197.

Simon de Montbourcher, grand écuyer de Bretagne en 1380, décédé aprèes 1404, peut-être père de Bertrand de Montbourcher que Pol Potier de Courcy [13] dit grand écuyer de Bretagne en 1400, et qui ratifie aussi le traité à Rennes le même jour, brisant d’un filet en bande et d’une merlette en chef [14]. Montbourcher est un ramage de Vitré.

On ne connait pas le sceau utilisé par Simon pour ratifier le traité [15] La littérature donne aussi des pots ou des chanes, représentant en héraldique le même objet que la marmite. Voir aussi Alain de Montbourcher.

Il ratifie le traité le 20 avril à Rennes.


Guil. Chatenier sire de la Thebaudaye en Generé

Guil. Chatenier
D’or à trois bogues d’azur.

N°131 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Guillaume (de) Chasteignier. La Thébaudaye est sise en Gévezé, diocèse de Rennes. La famille de Chasteignier en est propriétaire jusqu’en 1643, où Françoise de Chasteignier, héritière, l’apporte à son mari Joseph de Gouyon, seigneur de Launay-Comatz [16]. Cette famille aurait aussi porté d’or au léopard de sinople [17].

Il jure le traité de Guérande à Rennes [18].


Raoul de la Motte

Raoul de la Motte
De gueules à sept mâcles d’argent posés 3, 3 et 1, au lambel d’or.

N°132 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Membre non identifié d’une des nombreuses familles de la Motte. L’une d’elle [19] porte de sable à sept mâcles d’argent, comme Arradon, et l’un de ses membres, Olivier, ratifie le traité le 10 avril à Guérande. Mais Raoul de la Motte s’est servi d’un sceau à six merlettes (sur lequel Potier de Courcy [20] voit une bordure) pour ratifier le traité [21]. Gaignières s’est donc trompé sur cette entrée.


Je. Giffart

Je. Giffart
D’rgent à la bande de sable chargée de trois mâcles d’argent.

N°133 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Jean Giffart, mort après 1386, fils de Guilbert Giffart, compagnon de du Guesclin. Sa famille possédait la Roche en Saint-Sulpice des Landes, devenue plus tard la Roche-Giffard. On lui connaît un sceau similaire de 1379 chargé d’un lambel à quatre pendants. Celui qu’il utilise en 1381 pour sceller le traité a disparu [22].

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Alain du Vergier

Alain du Vergier
D’or à trois quintefeuilles de gueules ; au franc-canton du même chargé d’un lion d’or.

N°134 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Alain du Vergier, membre encore mal connu d’une famille du Verger (du Bergez en breton) ou du Vergier, à rapprocher peut-être de Jehan du Verger qui ratifie le traité avec lui, et de Girault du Verger qui le ratifie le 29 avril à Saint-Brieuc. Pol Potier de Courcy [23] cite Guillaume du Verger, lieutenant de Guérande pour Jean de Montfort en 1343 [24], qui porte aussi trois quintefeuilles, au franc-quartier chargé d’un léopard [25] et est de la famille des du Verger du pays guérandais aussi citée par Potier [26]. Cette famille porte selon Guy le Borgne [27] d’or à deux quintefeuilles de gueules ; au franc-canton du même chargé d’un léopard d’argent.

Le sceau qu’utilise Alain pour ratifier le traité a disparu [28].

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Guillaume de la Lande

Guillaume de la Lande
D’argent à la fasce crénelée de gueules.

N°135 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Guillaume de la Lande. Membre inconnu d’une des nombreuses familles de la Lande. M. Pastoureau le dit le même que Guillaume de la Lande, sire du Vaurouaud, qui épousa Jeanne de Guignan, et que Pol Potier de Courcy [29] dit être peut-être l’un des héros du combat des trente en 1350... On trouve aussi Eon et Olivier de la Lande, qui ratifient le traité le 30 avril à Guinguamp, et Richart, qui le ratifie le 3 mai aussi à Guingamp.

Gaignières s’est visiblement trompé car Martine Fabre [30] nous apprend que le sceau du Guillaume de la Lande qui ratifie le traité porte un dextrochère à manipule mouvant de l’angle du chef, tenant une fleur de lys.

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Robert de Melece

Robert de Melece
D’hermine à trois marmites de gueules.

N°136 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Robert de Mélesse. Personnage non identifié. Pol Potier de Courcy [31] et Guy Le Borgne [32] donnent comme armes à cette famille d’or à la bande fuselée de sable, proches de celles qu’utilise Robert de Melesse pour ratifier le traité : un écu à la bande denchée [33].

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Macé Levesque

Mac
De sable au chef d’argent chargé de trois fleurs de lys de gueules.

N°137 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Macé Lévêque, écuyer. A rapprocher de Mahé L’Evesque [34], chambellan du duc Jean V en 1423 et époux de Servanne du Houx, fils de Guillaume Lévêque, juge universel de Bretagne en 1380 et 1383, et de Jeanne de Montfort. A ne pas confondre avec les Levesque nantais qui se sont appropriées au XVIIIe les armes présentés ici [35].

Si le sceau de Macé Lévesque de 1381 porte bien un chef chargé de trois fleurs de lys, un autre sceau de 1388 au nom de Mahé Lévesque est brisé d’une bande écotée [36]. Le Macé ou Mahé ratifiant le traité pourrait être le père ou un oncle de celui qui scelle en 1388 et de Guillaume Levesque qui ratifie aussi le traité en 1381.

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Je. Hattes

Je. Hattes
D’azur au lion d’argent chappé de gueules.

N°138 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Jean Hattes. Peut-être parent d’Olivier et Pierre Hattes, sénéchal de Rennes en 1384, qui ratifient le traité respectivent le 30 mai à Montfort et le 10 avril à Guérande.

Peut-être est-ce lui qui épouse Jeanne de Beaucé ?

Le sceau qu’il a utilisé pour ratifier le traité nous est aujourd’hui inconnu [37].

Il ratifie le traité le 20 avril 1381 à Rennes.


Geffroy de Lanvallay

Geffroy de Lanvallay
D’azur à sept losanges d’argent, posés 3, 3 et 1.

N°139 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Geffroy de Lanvallay, frère de Robin de Lanvallay, fils de Raoul II de Lanvallay et de Tiphaine Raguenel. Robin et Raoul ratifient aussi le traité le 25 mai à Pouancé, tout comme Guillaume, peut-être aussi frère de Robin et Geoffroy. Il est peut-être aussi frère ou neveu de Thibault de Lanvallay, écuyer de l’hotêl du duc de Bretagne, qui ratifie le traité le 20 avril à Guérande, et de Guillaume de Lanvallay, qui ratifie aussi le traité avec Raoul et son fils Robin.

En réalité, Geoffroy de Lanvallay ne scelle pas le traité [38].

Il ratifie le traité le 25 avril 1381 à Dinan.


Berthelot d’Angolvent

Berthelot d’Angolvent
De sinople à la fasce d’hermine.

N°140 dans Le rôle d’armes du second traité de Guérande (1381), Michel Pastoureau, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, 1976.

Berthelot d’Angoulvent, lieutenant du château de Solidor en 1400, fils de Bertrand d’Angoulvent qui combattit à Cocherel. En 1381, il est dit écuyer du connétable de France (du Guesclin) [39]. Il est aussi le neveu de Tristan d’Angoulvent, écuyer de l’hôtel du duc, qui ratifie le traité le 20 avril à Guérande.

Le sceau qu’il utilise pour ratifier le traité est brisé d’un écusson chargé en chef, mais cet écusson disparaît en 1417 [40]. Il convient de rapprocher cette surcharge de celle qui est présente sur le sceau d’Olivier d’Angoulvent vers 1377-79, consistant aussi en un écusson bandé de six pièces en chef à dextre [41].

Il ratifie le traité le 25 avril 1381 à Dinan.


[1Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 3608.

[2Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne, fiche 1882.

[3Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 2490.

[4Cf Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome III, p. 227.

[5Héraldique médiévale bretonne..., fiches 2151 et 5152.

[6Cf Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome III, p. 49.

[7Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome I, page 127.

[8Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., t.I, p. 98, fiches 391 et 392, voir aussi 186 et 390.

[9Comme le donne M. Pastoureau. Guillaume II du Chastel est né en 1364 à Trémazan, et fut tué en 1404 à Jersey. Il avait épousé de Marie du Pont dont il n’a pas d’enfants. Sur les Du Chastel de Trémazan, voir Le Trémazan des Du Chastel, du château-fort à la ruine, Actes du colloque de Brest, juin 2004.

[10Cf Le Trémazan des du Chastel, du château-fort à la ruine, Actes du colloque de Brest, juin 2004, p. 141.

[11Cf Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome I, p. 231.

[12Cf Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome II, page 204.

[13Cf Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome II, page 291.

[14Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 2692.

[15idem, fiche 2701.

[16Alfred Anne-Duportal, Hédé - Les seigneuries, Bulletin de la Société Archéologique d’Ille-et-Vilaine, tome 44, volume 2, année 1915, pages 309 et 310

[17Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome I, page 229.

[18Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 588.

[19Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et Armorial de Bretagne, t. II page 308.

[20Idem, page 310.

[21Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1897.

[22Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1295.

[23Cf. Nobiliaire et Armorial de Bretagne, t. III, page 216.

[24Voir aussi Alain Gallicé, Guérande au Moyen-Âge, p. 61-62, 71, etc.

[25Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1165.

[26Nobiliaire et Armorial de Bretagne, t. III p. 215. Potier de Courcy donne deux familles distinctes alors qu’il s’agit de la même.

[27Armorial breton, 1667, page 287.

[28Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1164.

[29Voir Nobiliaire et Armorial de Bretagne, t. II p. 144.

[30Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1845.

[31Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome II, p. 257, indiquant un sceau de 1389.

[32Armorial breton, p. 203.

[33Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne, fiche 3904. M. Fabre ne recense pas le sceau cité par Potier de Courcy.

[34Donné par Pol Potier de Courcy, Nobiliaire et Armorial de Bretagne, tome I, p. 370.

[35Louis-Hyacinthe (1747-1840) négociant, armateur, président au Tribunal de Commerce de Nantes de 1819 à 1830, conseiller général, député, maire de Nantes en 1819 et reconduit en 1821 et 1829, ou son fils Louis-Auguste (1809-1888) armateur, industriel conserveur, propriétaire terrien et forestier, qui ont fait leur fortune essentiellement au XIXe siècle, et se sont appropriés les armes de l’antique maison Levesque.

[36Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne, fiche 2427 pour le sceau du traité de Gurérande et 2428 pour celui de 1388.

[37Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1446.

[38Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 1957.

[39Martine Fabre, Héraldique médiévale bretonne..., fiche 3034.

[40Idem, fiches 178 et 179.

[41Idem, fiche 181.